Avril en vrille!

Un festival international pour troubler les repères, avec deux artistes belges, une artiste franco-autrichienne, des artistes allemands et des artistes américains.

Focus Europe

– Alexander Vantournhout & Bauke Lievens / Aneckxander – Danse / Performance
– Gisèle Vienne / Dennis Cooper / Puppentheater Halle / The Ventriloquists Convention – Théâtre

Focus Amérique

Carte blanche au festival American Realness :
– Dana Michel / Yellow Towel – Danse / Performance
– Ligia Lewis / Sorrow Swag – Danse / Performance
– Miguel Gutierrez / Age & Beauty: Part 1 – Mid-Career Artist/Suicide Note or &:-/ – Danse / Performance
– Miguel Gutierrez / Deep Aerobics – Dance Party

Les Workshops

– Workshop’brunch animé par l’un des artistes de The Ventriloquists Convention
– Workshop’brunch animé par Alexander Vantournhout et Bauke Lievens
– Workshop’pro animé par Ligia Lewis
– Atelier photo / Corps en vrille – animé par le collectif Ohm_art

FOCUS EUROPE
Gisèle Vienne est de retour aux Subsistances. Elle est devenue aujourd’hui une des artistes les plus reconnues et les plus singulières de la scène européenne. Elle travaille avec les interprètes d’un théâtre national allemand de marionnettes. Elle offre une fascinante exploration de la psyché écrite avec Dennis Cooper. Les jeunes artistes belges Alexander Vantournout & Bauke Lievens reviennent eux aussi, après leurs résidences et les avant-premières d’Aneckxander jouées au mois de juin aux Subsistances. Depuis, la pièce a tourné à Londres, Bruxelles et Gand et a déjà été primée lors d’un festival. Un spectacle coup de poing, une découverte !

FOCUS AMÉRIQUE
Ben Pryor a créé Américan Realness Festival pour rendre visible l’Amérique des lisières, des minorités qu’elles soient sexuelles, raciales
ou mentales. Son festival est aujourd’hui reconnu à New York comme celui où les langages du corps émergent et bougent. Avec le Centre national de la danse à Pantin et le Théâtre Garonne, scène européenne de Toulouse, avec l’aide du programme dance2016 du Ministère de la culture et de la communication, nous avons proposé une carte blanche à son directeur, Ben Pryor, pour rendre perceptible un certain goût de l’Amérique bien éloigné de ce que nous en proposent les médias.

« American Realness Festival, dont la première édition a eu lieu en 2010, propose des formes qui défient les normes et les bousculent, le plus souvent avec succès. Certains spectateurs de danse s’en tiennent soigneusement éloignés, d’autres ne voudraient le manquer sous aucun prétexte. J’y ai vu d’assez nombreuses pièces kitsch, porno, camp et dingues, mais aussi quelques pièces de danse inoubliables qui m’ont emmené là où rien jamais ne m’avait porté. »
Alastair Macaulay (The New York Times, janvier 2016)